Monika-RGM

On peut dire que la montagne a accouché d’une souris. Je repère Monika hier matin, dont la tournée en France débute le jour-même. Le combo bouche pulpeuse/gros seins (apparemment naturels) me donne de grosses envies de COB. J’écris à l’agence, qui me dit que la belle commencera son tour à 17h30, à l’hôtel habituel gare de l’Est. Je réserve donc pour cette heure-là. En début d’aprem, RGFM m’informe que Monika a eu un problème d’hébergement, qu’elle m’accueillera dans un appartement du Marais et me demande si l’on peut déplacer à 18h30, afin que la belle ait le temps de s’installer. N’ayant pas de contrainte particulière ce soir-là, j’accepte. Alors que je suis en route, l’agence me demande de décaler encore de 15 minutes et me questionne sur le dresscode. Je demande robe sexy + striptease. Je flâne dans le quartier, il fait beau, je prends mon mal en patience, me disant qu’il valait mieux que la belle m’accueille dans les meilleures conditions possibles. A 18h45, j’envoie un texto pour dire que j’arrive devant l’immeuble. On me demande d’attendre encore. Je poireaute jusqu’à 19h05 (donc 35 minutes au total à tourner en rond comme un con dans le Marais). Passons sur le fait que les indications pour trouver l’appart’ n’étaient pas claires du tout et que j’ai dû écouter aux portes afin d’entendre éventuellement quelqu’un parler russe et sonner au bon endroit. La porte s’ouvre. La fille qui m’accueille est une grand brune absolument sublime… mais ça n’est pas la fille des photos et le dresscode n’est pas du tout respecté. Je la questionne sur le fait qu’elle n’a pas de tatouage sur le bras droit, alors qu’elle en a sur les photos. Elle bredouille une excuse bidon, comme quoi c’était un tatouage provisoire pour les photos et me presse pour que je la paie. Comme elle est canon, correspond à mes critères (fine, longues jambes, gros seins— refaits en l’occurrence), qu’elle est sympa et qu’elle parle très bien anglais, je décide de rester quand même. Autre embrouille : elle s’excuse car elle a dû se préparer en urgence et me demande si sa copine Rada peut rester (je peux également vous garantir que ça n’est pas du tout la fille des photos non plus, même si elle est également très mignonne). Je ne comprends pas vraiment la question, ni le rapport. Elle me propose un duo, ce que je refuse (ni l’envie, ni les moyens). Elle me dit alors que sa copine va rester à côté, dans la cuisine (il n’y a pas de porte séparant les deux pièces). Je ne comprends pas trop ce qui l’empêchait d’aller faire un tour, mais comme ça ne me dérangeait pas spécialement, j’accepte. Vous vous dites « bon, au moins il a passé un super moment avec une vraie bombe ». Non, navré de vous décevoir. La belle était vraiment très pressée de m’expédier et s’est montrée très directive, réduisant les préliminaires au très strict minimum syndical, sans compter que je n’ai jamais eu droit à mon striptease. Exemple de sa directivité : je préfère me faire sucer debout mais elle m’a imposé de façon insistante une fellation allongée, avec préservatif qui plus. Bye bye le CIF. Sexe assez mécanique ensuite, entrecoupé de plaintes de sa part sur la chaleur et l’absence de climatisation dans l’appartement. Je finis en levrette, la vue est sublime et la fille est encore une fois un avion de chasse. Résumons : RV décalé, retard de 35 minutes par rapport à l’heure convenue, indications insuffisantes sur l’accès à l’appartement, fille non conforme aux photos, dresscode non respecté, présence de sa comparse qui pianote sur son téléphone dans la pièce d’à-côté, service mécanique, sentiment que l’on veut se débarrasser de vous au plus vite. Adieu RGFM, vous vous êtes bien foutus de moi.