JanieRG

Un physique très agréable, une attitude hors normes Je sais pas pourquoi, ses photos m’avaient attiré : ses jambes ? Ses yeux ? Ses lèvres ? La psychologie du punter, aussi triviale qu’elle soit, recèle ses secrets. Ma diode perso marquant « very low power », une telle rencontre tarifée peut s’avérer risquée : ça passe où ça casse. Soit vous ressortez tel un demi-dieu, soit vous ressortez la queue basse après un rv glauque et délesté de 250 boules. La porte s’ouvre, une belle silhouette se découpe difficilement et timidement dans la pénombre. Le décalage avec les photos est là : la vraie girl est un peu plus marquée, un peu moins glamour, mais je retrouvais la grâce que sans doute je cherchais en matant ses photos d’Egtv. La fille doit avoir le 1,65 m annoncé, ses belles jambes remontées par ses high steel shoes sont des pousse-au-crime, ses fesses de petite taille mais bien dessinées et enfermées partiellement par de la dentelle noire d’où s’échappent ses jaretelles s’affirment un cric à bites efficace, son bustier fait ressortir ses seins de taille moyenne et refaits. Tout se passe en douceur, naturellement, pourtant elle cause pas l’englishe. Je passai le temps de la douche à fomenter ma tactique en fonction des quelques éléments de psychologie glanés au moment de l’ouverture de la porte, du « hello », du « how are you », du « j’te mate tu ‘mates ». J’avais eu le temps de me pomponner avant de venir, tous les fondamentaux en place, j’allais pouvoir sortir le grand jeu (enfin … le mien quoi ..) Je sors, elle est allongée sur le lit. Elle est vraiment appétissante. D’habitude, ça me gonfle. J’aime bien les déshabiller debout. Elle me baragouine 2/3 mots de compliments, ça y est elle a vidé son dico perso d’un seul coup. C’est charmant. On s’embrasse, enfin c’est elle qui vient m’embrasser. Ses lèvres pulpeuses amortissent avantageusement l’élan qu’elle a pris pour briser l’absence de glace qui était entre nous. Caresses. Préliminaires savoureux. L’échelle de Richter en branle, les échelons sont gravis tranquillement mais sûrement. Cette fille a du talent. Un superbe équilibre entre GFE/Chienne (qu’elle n’est sûrement pas, mais dont elle adopte les symptômes avec grand talent). Un régal. Elle aime autant cela que moi. C’est elle qui prend les initiatives érotiques, je me laisse faire. Elle me prend distrètement la bite dans sa main, juste pour lui dire de pas s’inquiéter, que son heure viendrait, sans la brusquer. Je reprends la main, elle se laisse faire. Elle sent que cela va être sa fête, annonce qu’elle prend somme toute positivement. Elle s’installe bien la coquine, l’oreiller, tout ça ;;; Tous ses sens sont à l’affût, elle se laisse aller complètement. Cette fille est une usine à jouir. Elle s’oublie complètement. Elle m’oublie pas par contre. Elle profite de m’avoir devant elle, moi debout, me prend le chibre qu’elle engouffre d’un coup jusqu’à la garde. Ca fait chaud au cœur. Elle entame une fell d’anthologie, entrecoupée de roulages de pelle : là on comprend pourquoi certains aiment les trio. Mais moi dans l’instant, y’a qu’elle qui m’intéresse, je voudrais que sa bouche soit partout. Elle a des points sensibles d’enfer, des trucs qui la rendent dingues. Si vous avez le bonheur de les découvrir, elle vous fait comprendre que vous avez tapé dans le mille et en redemande. Il a fallu cramer 150 € pour qu’elle demande grâce et réclame de se faire sauter. J’ai cru que nos meilleurs moments étaient passés, que l’exercice allait paraître obligé et standardisé pour retomber tranquillement dans la partie de ça-va ça-vient de bon aloi. Mais la grâce appelle la grâce : elle a le talent d’exalter le vôtre. Pour son plus grand plaisir. Mes changements de rythme ont eu raison de son souffle qu’elle pensait avoir récupéré. Dingue. Elle crie ses mots en russe, j’y comprends rien, mais ça m’excite. Moi j’lui balance des trucs en français, elle y bite rien mais me répond en russe. Nous partons ensemble nos mains rassemblées dans l’extase. Le plus dur c’est de retomber sur terre, de retrouver la lumière de la salle de bains. J’y vais, j’en reviens, elle y va, elle en revient. Les caresses repartent immédiatement. Elle se jette sur ma queue, je fus presque choqué (non j’déconne..). Elle est démente cette fille, infatigable. Elle ne savait plus comment écarter ses cuisses pour que je lui bouffe son con. Lui, pas fou, se souvenait du match aller, alors il s’est pas inquiété quand je me suis occupé de lui d’une toute autre manière : la fille est devenue dingue. Je l’ai terminée en levrette et ai dû la laisser éclatée sur le lit. L’heure c’est l’heure. J’étais complètement rincé, repus. J’aurais pas aimé être le suivant, qui était bon pour ramasser les miettes. Ni Janie, je ne sais pas comment elle a fait. J’espère qu’elle n’a pas enchaîné. Pas eu le courage de lui demander. Fantastique cette fille.

Alors physiquement , à clairement plus que l’age annoncé , il semble qu’elle ai 27ans , les fesses sont un peu molle deja et la poitrine refaite est un bloc de beton trop dur ... A part ca le reste est très bien Au niveau service , rien à dire , le boulot est très bien fait et avec bonne volonté . j’y retournerais avec plaisir

Attention, bombe anatomique! J’y suis allé pour les belles jambes affichées sur le site, rassuré sur ce point par la revue précédente. Hotel tranquille dans le 6eme, entrez passez devant le réceptionniste débonnaire petit escalier vers le salon, l’ascenseur est a droite. Un étage plus haut la porte s’ouvre et je découvre une nana de 27 ans, le corps splendide, le visage un peu moins car la miss visiblement est une pro qui a bourlingué, peut être un peu de collagène, les yeux bleu. Les photos présenté sont un peu a son avantage pour le visage, par contre si vous aimez les corps fin et musclé, un cul qui tient dans une main, de jolies jambes fines, des chevilles fines, une chatte bien épilée, de même que tout le reste, vous ne serez pas décu. Social time? Elle sourit, fait son métier avec grâce, que demander de plus en 30mn. Elle comprends bien l’anglais. le parle un peu. Sur le ring par contre la petite envoie grave. Faut dire que je l’ai bien préparée en lui bouffant les orifices goulument. Ses courbes ont dut être designéS par Pininfarina, ca donne envie. Elle se lâche vraiment, sa pipe est juste la meilleur que j’ai eu jusque là, ou dans le top 3. Elle sait appuyer la ou ca fait du bien, une technque de fou. Pénétration de toute beauté, dans tous les sens. CIM dégusté jusqu’à la dernière goute, et elle a pris son temps pour aller à la salle de bain. Je suis sorti hyper relaxé; C’est ce que j’étais venu chercher. Agence RAS, et même un peu d’humour. Franchement ne la ratez pas, c’est une PSE qui sait aussi être douce et câline. Une superbe prise. Thank you miss, you are one of the best.

Synthèse : Physique très agréable sans être tout à fait ce que vous avez peut-être apprécié sur les photos. Des services hors normes. Ultra GFE et bien « coquine » également (d’autres diraient PSE). La fille est entrée dans mon top 5 direct : y’en a une qui a gueulé en se faisant sortir, mais c’est comme ça. Nouvel hôtel, inconnu, dans un quartier bien connu du temps de mes années estudiantines. C’était l’époque où nous nous révoltions pour des idées par pour des ipods …L’époque aussi où on se foutait sur la gueule des deux côtés du Luxembourg, pour les mêmes raisons, mais aussi pour se gonfler auprès des filles. Bref, c’est avec un brin de nostalgie que je frappais à la porte de la chambre de la miss, dans un hôtel de bon standing et suffisamment grand pour ne pas risquer qu’un salarié zélé au service du grand capital ne vienne vous chatouiller avec un brin d’ironie pour savoir où vous allez.. Je sais pas pourquoi, ses photos m’avaient attiré : ses jambes ? Ses yeux ? Ses lèvres ? La psychologie du punter, aussi triviale qu’elle soit, recèle ses secrets. Ma diode perso marquant « very low power », une telle rencontre tarifée peut s’avérer risquée : ça passe où ça casse. Soit vous ressortez tel un demi-dieu, soit vous ressortez la queue basse après un rv glauque et délesté de 250 boules. La porte s’ouvre, une belle silhouette se découpe difficilement et timidement dans la pénombre. Le décalage avec les photos est là : la vraie girl est un peu plus marquée, un peu moins glamour, mais je retrouvais la grâce que sans doute je cherchais en matant ses photos d’Egtv. La fille doit avoir le 1,65 m annoncé, ses belles jambes remontées par ses high steel shoes sont des pousse-au-crime, ses fesses de petite taille mais bien dessinées et enfermées partiellement par de la dentelle noire d’où s’échappent ses jaretelles s’affirment un cric à bites efficace , son bustier fait ressortir ses seins de taille moyenne et refaits. Tout se passe en douceur, naturellement, pourtant elle cause pas l’englishe. Je passai le temps de la douche à fomenter ma tactique en fonction des quelques éléments de psychologie glanés au moment de l’ouverture de la porte, du « hello », du « how are you », du « j’te mate tu ‘mates ». J’avais eu le temps de me pomponner avant de venir, tous les fondamentaux en place, j’allais pouvoir sortir le grand jeu (enfin … le mien quoi ..) Je sors, elle est allongée sur le lit. Elle est vraiment appétissante. D’habitude, ça me gonfle. J’aime bien les déshabiller debout. Elle me baragouine 2/3 mots de compliments, bref tout son dico perso. C’est charmant. On s’embrasse, enfin c’est elle qui vient m’embrasser. Ses lèvres pulpeuses amortissent avantageusement l’élan qu’elle a pris pour briser l’absence de glace qui était entre nous. Caresses. Préliminaires savoureux. L’échelle de Richter en branle, les échelons sont gravis tranquillement mais sûrement. Cette fille a du talent. Un superbe équilibre entre GFE/Chienne (qu’elle n’est sûrement pas, mais dont elle adopte les symptômes avec grand talent). Un régal. Elle aime autant cela que moi. C’est elle qui prend les initiatives érotiques, je me laisse faire. Elle me prend distrètement la bite dans sa main, juste pour lui dire de pas s’inquiéter, que son heure viendrait, sans la brusquer. Je reprends la main, elle se laisse faire. Elle sent que cela va être sa fête, annonce qu’elle prend positivement. Elle s’installe bien la coquine, l’oreiller, tout ça ;;; Tous ses sens sont à l’affût, elle se laisse aller complètement. Cette fille est une usine à jouir. Elle s’oublie complètement. Elle m’oublie pas par contre. Elle profite de m’avoir devant elle, moi debout, me prend le chibre qu’elle engouffre d’un coup jusqu’à la garde. Ca fait chaud au cœur. Elle entame une fell d’anthologie, entrecoupée de roulages de pelle : là on comprend pourquoi certains aiment les trio. Mais moi dans l’instant, y’a qu’elle qui m’intéresse, je voudrais que sa bouche soit partout. Elle a des points sensibles d’enfer, des trucs qui la rendent dingues. Si vous avez le bonheur de les découvrir, elle vous fait comprendre que vous avez tapé dans le mille et en redemande. Il a fallu cramer 150 € pour qu’elle demande grâce et réclame de se faire sauter. J’ai cru que nos meilleurs moments étaient passés, que l’exercice allait paraître obligé et standardisé pour retomber tranquillement dans la partie de ça-va ça-vient de bon aloi. Mais la grâce appelle la grâce : elle a le talent d’exalter le vôtre. Pour son plus grand plaisir. Mes changements de rythme ont eu raison de son souffle qu’elle pensait avoir récupéré. Dingue. Elle crie ses mots en russe, j’y comprends rien, mais ça m’excite. Moi j’lui balance des trucs en français, elle y bite rien mais me répond en russe. Nous partons ensemble nos mains rassemblées dans l’extase. Le plus dur c’est de retomber sur terre, de retrouver la lumière de la salle de bains. J’y vais, j’en reviens, elle y va, elle en revient. Les caresses repartent immédiatement. Elle se jette sur ma queue, je fus presque choqué (non j’déconne..). Elle est démente cette fille, infatigable. Elle ne savait plus comment écarter ses cuisses pour que je lui bouffe son con. Lui se souvenait du match aller, alors il s’est pas inquiété quand je me suis occupé de lui d’une toute autre manière : la fille est devenue dingue. Je l’ai terminée en levrette et ai du la laisser éclatée sur le lit. L’heure c’est l’heure. J’étais complètement rincé, repus. J’aurais pas aimé être le suivant. Ni Janie, je ne sais pas comment elle a fait. J’espère qu’elle n’a pas enchaîné. Pas eu le courage de lui demander. Fantastique cette fille.

Vu janie hier soir. Très bonne rencontre.Elle a un corps incroyable , très fin, petit gabarit et super musclé, seins refaits pa contre ce que je n’adore pas. La pipe est d’anthologie, la séquence cul également son gabarit acceptant tout, y compris la levrette avec un doigt dans le petit qu’elle semble apprécier. Pas voulu d’anal tout de fois. Elle est extrêmement chaleureuse et sympathique, j’y reviendrais sans doute. Je la conseille aux amateurs de petits gabarits légers, ceux qui aiment les charpentées à bourriner seront frustrés!

Synthèse : Physique très agréable sans être tout à fait ce que vous avez peut-être apprécié sur les photos. Des services hors normes. Ultra GFE et bien « coquine » également (d’autres diraient PSE). La fille est entrée dans mon top 5 direct : y’en a une qui a gueulé en se faisant sortir, mais c’est comme ça. Nouvel hôtel, inconnu, dans un quartier bien connu du temps de mes années estudiantines. C’était l’époque où nous nous révoltions pour des idées par pour des ipods …L’époque aussi où on se foutait sur la gueule des deux côtés du Luxembourg, pour les mêmes raisons raisons, mais aussi pour se gonfler auprès des filles. Bref, c’est avec un brin de nostalgie que je frappais à la porte de la chambre de la miss, dans un hôtel de bon standing et suffisamment grand pour ne pas risquer qu’un salarié zélé au service du grand capital ne vienne vous chatouiller avec un brin d’ironie pour savoir où vous allez.. Je sais pas pourquoi, ses photos m’avaient attiré : ses jambes ? Ses yeux ? Ses lèvres ? La psychologie du punter, aussi triviale qu’elle soit, recèle ses secrets. Ma diode perso marquant « very low power », une telle rencontre tarifée peut s’avérer risquée : ça passe où ça casse. Soit vous ressortez tel un demi-dieu, soit vous ressortez la queue basse après un rv glauque et délesté de 250 boules. La porte s’ouvre, une belle silhouette se découpe difficilement et timidement dans la pénombre. Le décalage avec les photos est là : la vraie girl est un peu plus marquée, un peu moins glamour, mais je retrouvais la grâce que sans doute je cherchais en matant ses photos d’Egtv comme un crevard. La fille doit avoir le 1,65 m annoncé, ses belles jambes remontées par ses high steel shoes sont des pousse-au-crime, ses fesses de petite taille mais bien dessinées et enfermées partiellement par de la dentelle noire d’où s’échappent ses jaretelles s’affirment un cric à bites efficace , son bustier fait ressortir ses seins de taille moyenne et refaits. Tout se passe en douceur, naturellement, pourtant elle cause pas l’englishe. Je passai le temps de la douche à fomenter ma tactique en fonction des quelques éléments de psychologie glanés au moment de l’ouverture de la porte, du « hello », du « how are you », du « j’te mate tu ‘mates ». J’avais eu le temps de me pomponner avant de venir, tous les fondamentaux en place, j’allais pouvoir sortir le grand jeu (enfin … le mien quoi ..) Je sors, elle est allongée sur le lit. Elle est vraiment appétissante. D’habitude, ça me gonfle. J’aime bien les déshabiller debout. Elle me baragouine 2/3 mots de compliments, bref tout son dico perso. C’est charmant. On s’embrasse, enfin c’est elle qui vient m’embrasser. Ses lèvres pulpeuses amortissent avantageusement l’élan qu’elle a pris pour briser l’absence de glace qui était entre nous. Caresses. Préliminaires savoureux. L’échelle de Richter en branle, les échelons sont gravis tranquillement mais sûrement. Cette fille a du talent. Un superbe équilibre entre GFE/Chienne (qu’elle n’est sûrement pas, mais dont elle adopte les symptômes avec grand talent). Un régal. Elle aime autant cela que moi. C’est elle qui prend les initiatives érotiques, je me laisse faire. Elle me prend discrètement la bite dans sa main, juste pour lui dire de pas s’inquiéter, que son heure viendrait, sans la brusquer. Je reprends la main, elle se laisse faire. Elle sent que cela va être sa fête, annonce qu’elle prend positivement. Tous sens sont à l’affût, elle se laisse aller complètement. La complémentarité des corps et des âmes est là. L’intellect a lâché, les sens en plein accord ont pris le relai. Cette fille est une usine à jouir. Elle s’oublie complètement. Elle m’oublie pas par contre. Elle profite de m’avoir devant elle, moi debout, me prend le chibre qu’elle engouffre d’un coup jusqu’à la garde. Ca fait chaud au cœur. Elle entame une fell d’anthologie, entrecoupée de roulages de pelle : là on comprend pourquoi certains aiment les trio. Mais moi dans l’instant, y’a qu’elle qui m’intéresse, je voudrais que sa bouche soit partout. Elle a des points sensibles d’enfer, des trucs qui la rendent dingues. Si vous avez le bonheur de les découvrir, elle vous fait comprendre que vous avez tapé dans le mille et en redemande. Il a fallu cramer 150 € pour qu’elle demande grâce et réclame de se faire sauter. J’ai cru que nos meilleurs moments étaient passés, que l’exercice allait paraître obligé et standardisé pour retomber tranquillement dans la partie de ça-va ça-vient de bon aloi. Mais la grâce appelle la grâce : elle a le talent d’exalter le vôtre. Pour son plus grand plaisir. Mes changements de rythme ont eu raison de son souffle qu’elle pensait avoir récupéré. Dingue. Elle crie ses mots en russe, j’y comprends rien, mais ça m’excite. Nous partons ensemble nos mains rassemblées dans l’extase. Le plus dur c’est de retomber sur terre, de retrouver la lumière de la salle de bains. J’y vais, j’en reviens, elle y va, elle en revient. Les caresses repartent immédiatement. Elle se jette sur ma queue, je fus presque choqué (non j’déconne..). Elle est démente cette fille, infatigable. Elle ne savait plus comment écarter davantage ses cuisses pour que je lui bouffe son con. Lui se souvenait du match aller, alors il s’est pas inquiété quand je me suis occupé de lui d’une toute autre manière : la fille est devenue dingue. Je l’ai terminée en levrette et ai du la laisser éclatée sur le lit. L’heure c’est l’heure. J’étais complètement rincé, repus. J’aurais pas aimé être le suivant. Ni Janie, je ne sais pas comment elle a fait. J’espère qu’elle n’a pas enchaîné. Pas eu le courage de lui demander. Fantastique cette fille.