Nika-SE

Une petite déception quand elle m’a ouvert. Certes, c’est bien la fille des photos, mais, surprise dans son intimité, elle a plus l’air d’une gentille crevette que de la bombasse blonde que j’avais l’intention d’enculer sauvagement ! La suite de la rencontre m’a appris que cette jeune fille gagnait à être connue. Quant à moi, la trouvant peu sexy, j’avais décidé de m’allonger sur le dos et de lui laisser faire tout le travail. Certains pensent qu’on ne peut avoir de temps social correct avec une fille qui ne parle pas anglais. Et pourtant… J’ai appris que Nika, de père tatar et de mère russe, vivait à Kazan, ville située à 800 km de Moscou, où elle étudiait le violon, l’alto, et le violoncelle. Autant dire qu’elle sait parfaitement manier l’archet ! Un spécialiste de ce site, dont la science est proportionnelle au nombre de revues, m’a expliqué doctement que les escortes n’avaient jamais d’orgasme, mais qu’elles simulaient. J’emploierai donc désormais le terme de ‘’simulation’’ pour décrire ces accès violents de trépidation bruyante et humide, dont je suis fréquemment le témoin. Nika suce très bien, elle lèche les boules, elle lèche l’anus, et tout ça spontanément. En soixante-neuf, son clito est très réactif, et elle a eu deux ‘’simulations’’ séparées par cinq minutes de période réfractaire. Elle ne m’a rien exprimé, mais j’ai compris à son sourire intense qu’elle était parfaitement aux anges. Après m’avoir équipé en latex, elle s’est installée sur mois, et elle m’a a montré ce qu’elle pouvait faire avec mon archet. Un archet très solide, je le précise. Une ‘’simulation’’ toutes les cinq minutes, puis elle tombait sur moi quelques instants, histoire de se refaire une santé, et elle attaquait à nouveau. Au bout de trois fois, je lui ai demandé ce qu’elle pensait de la sodomie. Une moue dubitative me laisse entendre qu’elle n’aime pas vraiment. Mais elle me retourne la question. Moi, j’aime bien (mais je n’ai pas l’intention de rajouter un kopeck). Nika est visiblement décidée à me faire plaisir. Elle s’empare de son tube de gel, et c’est parti. Introduction difficile (‘’Big, big !’’), mais persévérance, voire obstination. Ça y est l’archet est en place ! Et elle l’utile de façon tellement efficace, qu’elle est prise, au bout de dix minutes, d’un accès de tremblements, qu’elle se couvre de chair de poule, et qu’elle s’effondre sur moi toute pantelante ! Une ‘’simulation’’ superbe ! Après s’être extirpée, elle constate que moi je n’ai pas eu de ‘’simulation’’. Elle le déplore. Je lui explique que je souhaite finir dans sa bouche, mais qu’elle doit tout avaler. Elle marque un instant d’hésitation, mais je sais ce qui se passe dans sa petite tête de tatar : elle pense qu’elle me doit bien ça, pour me remercier de toutes ces ‘’simulations. Et elle s’exécute avec maestria ! Je vous l’avais bien dit qu’elle gagnait à être connue !