SVETLANA

Amis de la poésie, bonsoir, Quiviuk poète de la fente, bateleur du cul et ménestrel de la vulve est de retour…Je vois que les fiottes décorées de l’ordre de l’Arlequin bibliothèque rose se sont reproduit et infestent vulvopathe.com… Va falloir y mettre de l’ordre « _Bonjour gente dame de la Pussycat, je souhaiterais obtenir une entretien de démontage fourrage de votre demoiselle Svetlana qui m’a pas l’air trop farouche de la touffe. _ Bonjour, gentil damoiseau équarisseur de vulve. Svetlana se fera faisander le dindon avec plaisir et vous attend pour que vous puissiez lui récurer la lessiveuse en mode sévère. _ C’est parfait. Auriez vous l’extrême obligeance de lui signaler qu’elle va se faire fendre en deux, assécher le baveux et se faire appliquer un masque de jour à base de sperme frais… Il y a du stock, voyez vous… _ C’est avec délice qu’elle recevra votre foutre royal pleine face, cher ménestrel de la vulve… » Bonjour ma petite dame, c’est le plombier. Il parait que vous avez la robinetterie bouchée et le conduit à ventiler. Ca tombe bien c’est ma spécialité. Bon je vais préparer tout ça. Thune, douches et au boulot Voilà t’es gentille tu te mets à genoux que je te colle le quenelle dans le shaker et te polisse les molaires. Bah c’est pas mal cette affaire là. J’ai le chic pour décrocher les premiers prix du conservatoire de la traversière. Pour lustrer et astiquer le manche comme ça, c’est forcément une pro, parce qu‘on sent l’expérience de tire jus bien solide. Une bonne trayeuse diplômée de l’école de la pipe de Moscou. Je te lui ai chatouillé la glotte à coup d’étendart et comme elle méritait sa récompense, je lui ai refait le crépi de l’arrière salle. Pas bégueule pour deux roubles elle a poliment attendu que je finisse pour aller nourrir les poiscalles des égouts. Quiviuk en mode faignasse : comme elle se débrouille braquemart en bouche, je me suis planté dans le fauteuil et je lui demandé une deuxième session de traversière. Ca suce, ça aspire, ça lèche, ça bave et ça vous refait dresser l’étendart en moins de temps qu’il faut pour le dire. Une fois que j’avais hissé les couleurs, je suis parti fourrer la dinde sans passer par la tonte du gazon. Je te l’ai fait asseoir sur le calibre et planté le javelot dans le gazon. Petit cours de mécanique avec elle dans le rôle du piston et le calibre dans celui de l’injecteur. Je te lui ai taraudé la touffe en mode majeur et elle est partie me faire un aller retour au Couinsland. C’est peu dire qu’elle aime se faire fendre en deux à coup de surin dans le conduit qu’elle a étroit d’ailleurs. Deuxième partie du triptyque en mode récurage de lessiveuse sur le meuble télé où je te lui ai collé un poutre dans le conduit et asséchez le baveux en rut majeur. Sur ce coup là elle a pris cher la popoff. Je te lui ai collé un tel kilométrage de bite qu’elle en avait le mollusque qui moussait. On peut lui palucher le mou de veau en mode en mode frénétique, elle prend tout et avec le sourire s’il vous plait. Allez hop en passe en levrette que je bivouaque dans la crevasse et te ventile les escalopes. Je te lui ai parmesaner les lasagnes de saucisses de cellophane et elle m’a refait une visite au Couinsland. Je t’y ai fait cravacher le pur sang à 6000 tours minutes et collé 80 mètre de bite dans cette position. Pas de lézard, elle prend tout. Je te lui élargie le diamètre sur ce coup là. And now ladies and gentlemen, le chef d’œuvre picturale façon Quiviuk : épandage de foutre sur faciès. Je lui ai lézardé la façade de deux rasades de foutre épais et bien collant. Digne de la FIAC. J’oubliais : c’est bien la pintade des photos. Du prêt à fourrer avec une tête de sibérienne, des chouches en plastoc et elle te cause un poil de roastbeef et une pincée de froggy. Réservée mais souriante. Son truc c’est pas la tailler la bavette mais se faire récurer le baveux. Salope !!