CANDY_ AF

Candy est pour moi le nom associé à une rencontre mémorable. Je conserverai des avis précédents la description physique. Elle est belle, plus que ça charmante, son sourire m’a emporté des la première minute. Ses gloussements traduisent le plaisir qu’elle partage avec tendresse. La douceur se poursuit et la passion s’installe au cours des ébats que je conserverai en partie dans notre intimité. Bref, loin des rencontres professionnelles, Candy est une jeune femme pleine de fraîcheur à rencontrer....

CONTACT Pour organiser le meeting, Aphrodite assure. WhatsApp rapide et simple. Mon premier choix n’étant pas disponible, on me recommande Candy. Quelques autres échanges, également efficaces, pour régler certains détails en cours de route. Cependant pour le SAV, il n’y aura plus grand monde. LIEU Immeuble moderne dans le 15e, du côté de Montparnasse. Rue un peu bloquée par des travaux, mais facile de se garer dans une voie perpendiculaire. Quelques caméras de surveillance. Appartement moderne et propre. Chambre agréable et bien rangée. Lumière légèrement tamisée. Grand lit double mais pas grand chose d’autre d’intéressant - pas de miroir ni d’horloge visible. Salle d’eau non visitée. FILLE Moins maquillée que sur ses photos, et du coup bien plus jolie. Petite blonde sexy, souriante et élégante: robe noire, collants, talons haut (100% dress code), genre hôtesse dans une soirée privée sponsorisée par une marque de luxe, dans un musée. Formes appétissantes mais sans le côté cocotte des photos, qui décidément la desservent. Nudité seyante. Peau douce. Poitrine naturelle défiant Newton. Postérieur copieux sans excès. Jambes galbées et soigneusement épilées, comme le pubis. Mignons petons pédicurés. Pas de tatouages, pas de piercing, hygiène parfaite. Bombasse blonde classique en début de vingtaine se faisant certainement souvent draguer. RAPPORTS Là, ça se gâte. Gentille, honnête, appliquée, mais sans vice, sans passion, sans chaleur. Accepte le cunnilingus poliment mais rechigne aux insertions digitales, ce qui rend l’exercice académique. Pipe bienveillante, rien de plus. Evite le contact visuel, remet constamment la main, refuse les jeux baveux: pas de turkey slapping, pas de face fucking. Tout cela ne serait rien si elle se laissait guider mais nenni, notre hétaïre fait fi des indications subtiles tout comme des demandes directes. De temps en temps, un gloussement difficile à interpréter accompagne la monotonie qui s’installe. Accepte de prendre des poses pour laisser admirer sa plastique, mais tellement passivement que l’on serait mieux avec une connection internet et un compte Met-Art. Sentant bien que son partenaire s’ennuie, prend l’initiative de DFKs qui pourraient renverser la tendance, si seulement ils était D ou même F. Las de mon voyage dans le temps dans un épisode édulcoré de la Série Rose sur FR3, je prends congé au bout d’à peine plus d’une demi-heure, sans fornication. SOCIAL TIME Plaisant au départ, plus froid sur la fin pour des raisons évidentes. Français quasi inexistant mais vaillamment tenté dans la bonne humeur. Anglais non testé. Sympathique et ouverte. Parle volontiers de sa vie personnelle, pose des questions. Potentiellement intéressante pour un russophone qui viendrait dans le but exclusif de découvrir avec patience et réciprocité la profondeur existentielle d’un autre être humain. CONCLUSION Au pays de Candy, pas comme dans d’autres pays VIP Aphrodite, on s’amuse un peu, on pourrait pleurer de frustration, on rit parce que c’est tout ce qui reste à faire, mais on ne jouit pas. Manquant d’un peu d’astuce, d’espièglerie, et surtout d’expérience Candy n’a établi avec moi aucune connection physique ou cérébrale. Même si elle s’en est défendue, clairement je ne lui ai pas plu. Cependant, j’eusse aimé qu’elle rencontrât avant moi un coach qui, comme Petyr Baelish dans GOT s1e7, lui eût expliqué l’art de simuler l’abandon indispensable aux courtisanes. Le plus frustrant pour moi c’est que, vu sa fiche de services très complète et sa bonne attitude indéniable, Candy va fatalement rencontrer dans les jours qui viennent un petit prince des collines qui révèlera son potentiel érotique et écrira une revue dont la pornographie me fera éternellement regretter de ne pas avoir su être le Valmont de cette magnifique C. de Volanges.

La jolie Candy est bien la fille des photos, un peu plus charpentée au niveau du fessier, mais elle a un vendre magnifiques et de très belles jambes. Niveau âge elle a plutôt dix neuf ans que les vingt et un annoncés. Certes, pour ceux qui ont besoin de se taper de l’adolescente pour se relancer la libido, ça doit être sympatoche, moi pour moi qui aime quand même bien qu’une escorte ne se la joue pas trop "GFE je sais pas comment faire" ça a un peu posé problème La jeune Candy est très propre et a visiblement quelques inquiétudes sur l’hygiène (au sens santé du terme) de ses partenaires et dès que quoi ce que soit est un peu deep, elle demande de mettre le préservatif. Donc pipe du bout des lèvres avec option crachat sur la bite et masturbation bien rodée (quoi que pour l’endurance du poignet... j’ai trouvé qu’elle freinait beaucoup ce qui m’a empêché de lui faire une surprise de CIF ou CIM/F plusieurs fois). Pour la deepthroat : préso. Pour lui faire un petit massage du point G : préso sur mes deux doigts. Pour lui glisser un doigt dans le petit : préso. Arrivé à ce point de ma revue, je m’aperçois que je pourrais laisser imaginer que c’était une cata. Certes ça m’a beaucoup coupé dans mes élans et je suis habitué à être plus impulsif avec mes amies les escortes. Mais une fois ces codes compris, c’est une furie. Elle mourrait d’envie que je vienne sur ses seins (excellente poitrine pour s’y branler, elle a une peau très douce et crache souvent plein de salive pour lubrifier, c’est inhabituel mais cool). Discussion avant de remettre ça. Elle ponctue ses phrases ou ce qu’on lui raconte par des petits sons vocaux aigus, très mignons. Elle est vraiment pleine de charme et nous avons beaucoup rigolé. Second round très classique, départ en cuni (elle monte très vite, avec des frissons et des sursauts, c’était très joli à faire), puis missionnaire, vite transformé en position de l’Indra que j’affectionne beaucoup, puis une bonne levrette des familles qu’elle a apprécié en me culbutant longtemps alors que j’était déjà venu. Elle m’a retenu plus longtemps que prévu pendant une discussion et a continué à me faire des câlins (très peu de bisous, elle n’est pas très french kiss) et des hugs. Vraiment adorable cette Candy.