ROZA__AF

Je ne serais pas en accord avec mes camarades et d’avec lesquels je diverge assez nettement sur plusieurs points. La pratique d’un forum ou portail de revues et évaluations implique de facto l’exercice de la tolérance. Cette revue n’a pas pour but d’apporter une contradiction à celles des autres, mais n’a que pour simple valeur celle d’une expérience vécue. Un exercice de subjectivité et a appréhender tel quel Chouches : magnifiques DFK : oui, mais Roza n’est pas une grande technicienne OWO : s’applique et fait de son mieux Suçage des boules/ AR : ne sais pas, ne demande jamais ces services qui ne me plaisent pas Cuni : tenté et vite stoppé. Voir plus bas Doigts pas tenté et l’exercice du cunni m’en a dissuadé Hygiène : correct à part un détail Lubrifiant : oui avec toujours la même excuse totalement irréaliste et pipeautée sur une proportion imaginaire. Du grand n’importe quoi Niveau d’anglais : au niveau de mon russe, c’est à dire aussi parcellaire qu’embryonnaire Attitude : souriante, de bonne volonté Je voulais rencontrer Nelli de la même agence, cette dernière officiant du côté de Beaubourg, adresse qui me fût à ce moment là pratique et bienvenue. Pas de bol, Nelli n’était pas disponible à 22h quand Roza habitant le même immeuble l’était. La préposé au booking a su se montrer aussi convaincante que persévérante et j’acceptai de rencontrer Roza. A l’heure convenue, un fringant quarantenaire, bien de sa personne et à la présentation soignée, se colla littéralement à la porte cochère, consultant frénétiquement son smartphone dans l’espoir de recevoir les derniers éléments pour rejoindre Nelli. Il semblait habité par l’excitation, oubliant le contexte de cette rencontre et la nécessaire discrétion dans ce type de contexte. Les punters me feront toujours rire tant il est aisé de les reconnaître dans l’attente du sésame. Comme à l’accoutumée, les photos de Roza sont très lissées et n’ont que peu de rapport avec la réalité. Ça on le sait déjà naturellement, mais présentement la déception fut encore plus grande. Je ne suis pas médecin, mais son visage donnait l’impression d ’avoir été modifié dans d’effroyables proportions pour in fine ne lui donner l’aspect d’une poupée de silicone. A mes yeux son visage n’avait plus grand chose de réellement humain. Le nez, les lèvres semblent refaites et possiblement les pommettes. Le tout alourdi par un maquillage outrancier qui loin de la mettre en valeur, renforçait à son corps défendant l’artificiel de la plastique proposée. Sur ses clichés, elle propose deux silhouette. L’une voluptueuse et l’autre plus élancée. Pas de chance, c’est la version mince et élancée qui m’acceuilla... Je préfère les silhouettes callipyges et voluptueuses. Nouvelle déception. Totale erreur de casting de ma part. Les photos proposant à notre convoitise un bubble butt et un joli abricot en innie ne sont pas les siennes. Je resta en dépit de ma déception car elle sut se montrer douce, accueillante et affable. Le russe est impératif pour dialoguer avec elle. On la sent à l’aise et elle sait aussi mettre à l’aise. Elle n’a pas comme les Teen Escorts ce besoin de se raccrocher à la rectitude d’une feuille de route et l’inflexible d’un déroulé rigide pour tenter de masquer ses atermoiements ou ses imprécisions. Elle ne tente pas d’imposer son rythme et de prendre le leadership de la rencontre. Elle est à l’aise. Aucune timidité ou hésitation. Elle laisse son visiteur guider la rencontre tout en conservant la bride lâche et mesurée. Elle a clairement travaillé en salon/bordel dans son pays et semble en proposer les qualités et désagréments. Sa poitrine et dune beauté et d’un galbe surnaturel. Une perfection mammaire. Je les ai examine sous toutes les coutures et je n’ai vu aucune cicatrice, y compris sous les aisselles. L’une des plus belle poitrines qu’il m’est était donné de toucher et contempler. Mais je m’en moque, les seins des filles me sont totalement indifférents. C’est une partie de leur anatomie qui n’éveille quasi aucune émotion chez moi. Pas de bol. Des seins aussi magnifique chez une mère, c’est surréaliste. La cicatrice de césarienne ne trompe pas. Les photos de vulve décorant son profil ne sont pas les siennes non plus. Sa vulve est en Outie avec un capuchon de grande dimension Au sortir de la douche la flaccidité m’accabla. Je n’avais pas de désir pour elle. Elle me goba flasque et s’empara d’un sextoy/vibrator pour venir me caresser le périnée. Je stoppa immédiatement l’exercice. Je suis très morne et ennuyeux en amour. Je n’utilise pas de sextoy, je n’aime pas ça et je n’ai que deux zones érogènes : ma bouche et ma bite. Le reste est un désert sensuel. J’ai senti de nouveau toute son expérience et je ne me fais pas d’illusion quant à ses activités professionnelles outre-Volga. L’hardiesse me gagna et je tenta le cunni. Fatal Error. J’ai immédiatement senti un goût métallique qui ne peut avoir qu’une origine hèménique. Elle avait ses règles et comme ses consœurs expérimentées elle place au fond de son vagin et à l’entrée de l’utérus une petite éponge naturelle quand elle reçoit ses clients. Fin de l’exercice, conclusion prématurée de mon exercice préféré. Je chaussa la gomme, qu’elle enduit de lubrifiant tout en déposant une noisette à l’entrée de son vagin. Soi-disant à cause de la taille de l’outil proposé. Mais bien sûr.... On y croit. Mon ex-femme n’est pas du tout du même avis. Exercice classique et durant lequel je faisais mon possible pour ne pas regarder son visage qui m’apparaissait hideux quand il exprimait son ressenti. Le tout se termina par un CIM laborieux de ma part. CIM qu’elle se proposa de tenir jusqu’à la dernière pulsation. J’ai la tenace impression qu’un cycle se termine. Je prends de moins en moins de plaisir avec les escorts slaves. Je refuse d’aller fréquenter des teen escorts, qui ne correspondent en rien à ce que je recherche et qui m’ont quasi toutes offert des rencontres de décevantes à pathétiques. Je n’ai pas d’attirance pour les escorts françaises qui exigent d’être séduites avant de proposer un abandon maîtrisé et je ne supporte plus le péremptoire française qui mêle au mépris, car c’est de cette façon en France que l’on marque sa classe et son rang. Je refuse de fournir une copie de CNI ou un selfie pour pouvoir booker une fille et de toute façon n’ayant pas de compte Facebook, je ne peux pas non plus répondre aux injonctions me sommant de le fournir le lien Internet idoine. Je ne veux pas booker 4 jours à l’avance et jeux butiner quand j’en ai envie, pas quand on m’accorde audience. Une pute s’est fait pour se simplifier la Vie, pas pour se la compliquer. Dernièrement les géorgiennes sont les seules à avoir réveillé l’envie et m’avoir fait passer des moments comme j’en avais connu naguère, il y a déjà dix ans de ça. Elles se sont fait sacqué d’Escortguide qui ne proposent plus à 85% les fakes Naid/Sex Fucktory et Aphrodite. Ce qui a commencé doit finir

Roza vient de ces républiques très populaires rouges qui envoient leurs meilleurs numéros se faire embrocher dans la fourmilière principale. Alors Roza s’est adaptée : - lèvres refaites en haut et en bas - seins ajustés plutôt proprement - attirail d’une femme qui prend soin d’elle pour rester compétitive Par conséquent, on se retrouve en face d’une personne qui sait ce qu’elle doit faire, aux antipodes de la jeune Saint-Pétersbourgeoise criblée de dettes. Non, Roza sait ce qu’elle doit faire parce que c’est son métier. Plus tireuse de bière que barista. Et c’est ce qu’il me fallait ce samedi : une vidange de mon liquide de refroidissement et un check du segment racleur... Pour faire court : prise en charge de son organe, elle a joui puissamment, en abondance. Bonne surprise. Le reste du temps fut consacré au terminus de son appareil digestif, bien dilaté par l’exercice décrit ci-dessus. Alors le produit sophistiqué s’est mué en une personne des plus agréables, la phase post-coït permettant des échanges plus francs, plus honnêtes.

Lut les poteux. La Roza reçoit à côté de Beaubourg dans un petit appart pour elle toute seule. On va pas refaire la resucée d’Aphrodite: les tofs sont hyper lissés mais c’est bien elle. Par contre elle est grave golé et les plus beaux seins que j’ai vu depuis ces deux dernières années. Rien qu’avec ses chouches elle pourrait faire modèle. Des nichons de compétition De moins en moins de filles sont capables de me faire venir en CIM. Roza y est arrivé et rien que sa pipe vaut le déplacement. Une des rares qui a compris qu’une pipe c’est pas juste une action de piston: sa langue est toujours active, caresse le membre et le frein. Je lui ai giclé pleine bouche deux fois. CIM jusqu’à la dernière pulsation Le reste c’est du bon classique de chez Aphro. La bite elle connait et je ne serais pas surpris qu’elle taffe aussi dans son frigo de pays. Aphro les bonne pros du chibre, AMR2.0 les petits canons qu’il faut dégivrer avant de consommer. Avant que j’oublie, révisez votre russe, son angalis est rudimentaire Allez à plus les poteaux

Belle rencontre que j ai dû abrégé moi meme mais c est ma faute. Sinon Roza en dress code secrétaire exactement comme demandé. Elle a un gode, j ai pu jouer avec elle. Le maître mot fut salive. C était PSE et pas toute le font. Mais quand vous êtes très propre et très respectueux, on peut observer beaucoup...

très étonnant que Rosa n a aucune revue car malgré que ce soir une femme de la trentaine, c est une bouffeuse de bite...elle adore celle qui sont bien dure et croyez moi avec l aide de la petite pilule bleue elle a été servie !! son DT est un régal, le gobbage de boules aussi accompagné de miaulements, et que dire du cow girl ou elle était déchaînée comme une morte de faim.. bon doggy aussi avec doigt dans le petit et final en bouche gardé longtemps !! un très bon plan cette Rosa dans cet appart connu du 15e